Sometimes...

I feel like I'm waiting for something that is never going to happen...

Humilité...




























bon pour cause de travaux, je squatte chez des potes plutôt sympas qu'ont une grande baraque à la campagne ; ce matin je suis peinard en train de bosser et les personnes chargées de l'entretien se pointent, la meuf bidouille, le mec bidouille en tournant autour de moi et en zoolant mon ordi mini, mon autre joujou de chez steve et les deux trois trucs qui trainent sur la table ; n'y tenant plus il se lance, demande des explications sur le matos, gentiment, "à la télé, ils ont dit que les iPhone ça explosent à la gueule des gens..." "ah ouais ? bah je vais me méfier, alors..." "et ça c'est quoi ? c'est bizarre jamais vu ça sur un pc", bon je réagis pas à l'insulte et jette un oeil au truc qu'il me montre derrière mon écran, "ah ça... c'est une bombonne de gaz inerte sous pression pour éviter que le vin s'oxyde une fois la bouteille ouverte, rien à voir avec mon mac" et je démonstrationne avec quelques giclettes de gaz... bon le mec se rend compte qu'il a un peu l'air con et lâche un peu revanchard "et sinon vous faites quoi dans la vie ?" "oh là, des trucs dans le marketing et la communication..." et là ça fuse, tu croyais quand même pas que j'allais m'en sortir comme ça "ah ouais ? bah y'a pas de sot métier comme on dit, hein, y'en faut pour tous les goûts...", j'ai souri...

Gravité...

toi j'sais pas, mais pour ce qui concerne ma p'tite personne, elle cogite plus véloce les couilles vides...

Quand J'étais Djeun's...

me rappelle une de ses soirées d'étudiants exilés où t'ingurgites plus d'alcool que t'as de sang et que forcément tu déblatères pas forcément très fin... dans le registre un mec en deuxième ou troisième première année de médecine locale philosophe gravement :
- avoir de l'argent, ça rend intelligent...
bon là t'imagines bien que j'éberlue sévère, je le zieute trois secondes pour essayer de sonder l'insondable et je lâche :
- bah toi tu dois être grave à découvert, nan ?

Ici Ou Ailleurs...

ce mec se rêve mercenaire mais fait des choix de notaire…

Mes Petites Amoureuses

Un hydrolat lacrymal lave
Les cieux vert-chou :
Sous l'arbre tendronnier qui bave,

Vos caoutchoucs

Blancs de lunes particulières
Aux pialats ronds,
Entrechoquez vos genouillères

Mes laiderons !

Nous nous aimions à cette époque,
Bleu laideron !
On mangeait des oeufs à la coque

Et du mouron !

Un soir, tu me sacras poète

Blond laideron :
Descends ici, que je te fouette

En mon giron ;

J'ai dégueulé ta bandoline,
Noir laideron ;
Tu couperais ma mandoline

Au fil du front.

Pouah ! mes salives desséchées,
Roux laideron
Infectent encor les tranchées

De ton sein rond !

Ô mes petites amoureuses,
Que je vous hais !
Plaquez de fouffes douloureuses

Vos tétons laids !

Piétinez mes vieilles terrines
De sentiments ;
Hop donc ! Soyez-moi ballerines

Pour un moment !

Vos omoplates se déboîtent,
Ô mes amours !
Une étoile à vos reins qui boitent,

Tournez vos tours !

Et c'est pourtant pour ces éclanches
Que j'ai rimé !
Je voudrais vous casser les hanches

D'avoir aimé !

Fade amas d'étoiles ratées,
Comblez les coins !
− Vous crèverez en Dieu, bâtées

D'ignobles soins !

Sous les lunes particulières
Aux pialats ronds,
Entrechoquez vos genouillères,

Mes laiderons.

A. Rimbaud (1871)

Shoot Me...

sure, anything I can do to please you...

Doctor Ruth, Welcome...

leçon du jour, comment faire comprendre à ton partenaire que quoi que son petit ego en pense la queen du cul c'est toi ? très simple, t'arrêter au beau milieu d'un bonne petite pipe et te mettre à lire le vogue anglais... imparable !

On Dit Que Le Silence Est D'Or...

c'est donc probablement un des rares luxes que les lâches peuvent s'offrir...

Typologies Féminines...

alors tout le monde le sait y'a 4 grandes catégories de femmes, les belles à poil et habillées (megan fox, kate moss...), les belles à poil mais pas habillées (les femmes qui savent pas se saper et pas trop mal foutues comme ta mère y'a 20 ans), les belles habillées mais pas à poil (monica bellucci que le cassel va finir par fucker qu'en bas de contension) et les moches à poil et habillées (la grande majorité des femmes). Côté cul, quelle que soit la catégorie à laquelle appartient une femme, la proportion reste la même, 10% à peine savent quoi faire avec une queue (bon je sais, en partie la faute aux mecs, mais bon le résultat est le même, elles ont toujours tendance à confondre bite et bilboquet !). Ca c'est pour l'aspect physique après côté mental y'a beaucoup plus de catégories mais globalement on peut encore en dessiner quelques grandes, les trop sûres d'elles, les flippées et celles qu'osent tout. Cette dernière catégorie a tendance à recruter sévère ces derniers temps je trouve ou alors je me bonifie à la vitesse intersidérale du beaujolais nouveau, bon on parle que de vitesse hein parce que côté quali me range plutôt côté grands pomerols... bref ! encore pas plus tard qu'hier, aéroport de berlin (SFX pour les intimes) au passage du checkpoint charlie local je notice une greluche pas très grande, pas trop moche qui exorbite insistant devant ma dégaine de dechirator, tu sens qu'elle a qu'une envie que je lui présente ma famille sur 12 générations pour qu'elle puisse vénérer tout ce petit monde en retour du hasard qui m'a mis sur sa route ou alors faut croire que je lui ai fait 4 gosses mais que j'ai oublié quand et où...  alors forcément je sens son regard pesant pendant que je remets mes pompes, ma veste, range mon macbook Pro (qui au passage a encore fait un atterrissage un peu violent contre un trottoir grâce à la besace de merde dans laquelle je le trimballe et qui va pas tarder à prendre feu tellement ça me gonfle que je péterai bien la gueule à deux trois mecs du côté de st jean de luz pour ceux que ça branche quand ils auront fini de se toucher le pipi le cul posé sur leur planche à attendre de la vaguelette hypothétique... bref heureusement que steve les a pensés solides ses joujous à pleins d'euros) bref encore une fois reconditionné, je taille, recroise quand même l'insistante au hasard de mes pérégrinations dans l'airport, puis vais me poser dans un coin histoire de tripoter mon autre joujou made in steve mais qui tient dans la main celui là, je bidouille, je bidouille et là concentré à mort sur une appli extraordinaire qui te permet de simuler le lancer de boulettes de papier dans la corbeille à papier aussi, je relève les yeux poussé par mon désormais célèbre instinct et que ne vois-je pas tangenter ? l'insistante et sa suite qui en me voyant bave à ses co-morues en italien vu qu'a priori elle est italienne et qu'elle se dit que je vais rien comprendre puisqu'elle m'a entendu parler au mec de la sécurité dans un américain plus que parfait au présent (je traduis pour les handicapés qui parlent pas italien...) :
- minchia (ça se traduit pas ça...) je savais que je le reverrais, je fais quoi ? je vais lui parler ? je peux pas il est trop beau...
bon forcément comme je parle italien couramment tu t'en doutes si tu le sais pas déjà, je calcule tout, donc je la regarde un peu curieux, ses cops comprennent que j'ai compris et se marrent ou baissent la tête un peu gênées... tout ça pour dire ma bonne dame qu'aujourd'hui, y'a une catégorie de femmes qu'a peur de rien, elle aurait eu un peu plus de temps ou de couilles la morue en chef suis certain qu'elle serait venue s'asseoir sur mes genoux direct, histoire de m'apprendre deux trois techniques de kung fu sicilien...

Petit Cours De Politique Autruchienne...

la tête dans le sable et le cul en l'air, c'est pas le meilleur moyen de se faire enculer ça ?

Bon Évidemment...

pour faire la différence entre conscience morale et conscience moraliste faudrait relire Hegel hein... mais là j'oblige personne !

Insolation...

Alhamdoulillah, ce qui me restait de conscience moraliste vient de caner sous 50° degrés à l'ombre, no more mercy!

J'ai Une Copine...

bah tu vois les 101 dalmatiens, bah tu les remplaces par des chats noirs... bah c'est sa life...

Conceptuel...

la prochaine fois que tu t'engueules avec ta meuf, essaie de le faire en disant des trucs gentils... juste pour voir...

Esprit De Compet...

M : tu crois qu'il va y arriver ?
F : avec son mental d'éjaculateur précoce ? crois pas non...

True Friendship II

I never fuck my friends wives, unless they want me to...

Éducation Physique...

des fois tu te dis que le meilleur outil pédagogique du monde ça reste les phalanges de ton poing droit et éventuellement du gauche si y'a besoin de cours de rattrapage, j'dis ça, j'dis rien...

True Love...

don't kill your mum, unless you really need to!

True Friendship I

i'm still your friend, whatever you put in your anus!

Oh Ta Gueule Toi Avec Tes Dents Pleines De Calcaire !

pas de moi non plus ! mais très drôle...

Petite Conversation Entre Blondes...

- et sinon tu fais quoi dans la vie ?
- je suis oncologue...
(temps de réflexion et moue dubitative)
- ah oui j'ai une cousine qui fait presque comme toi, elle est esthéticienne ! toi tu t'occupes que des ongles, c'est ça ?
- euuuuuuuh ! oui mais seulement après 18h... tu m'excuses faut que j'aille boire un truc là !

Souvenirs Ou Quand Parfois Vaudrait Mieux Choper Un Alzheimer

alors la meuf a la gueule enfoncée dans l'oreiller... le cul en l'air enfin une imitation pas trop mal réussie du comportement si caractéristique et souvent, à tort, caricaturé de l'autruche du groenland ! toi tu donnes comme d'hab pour faire honneur à la race humaine, et d'un coup dans un mouvement de contorsion presque reptilien, elle se retourne vers toi pour te lancer un regard à faire flipper msgr lustiger tout en te balançant d'une voix aussi suave qu'un limoncello qu'aurait macéré trop longtemps : "achève moi !"...
là forcément tu convoques les forces les plus ténébreuses qui t'occupent pour pas t'étouffer de rire devant le pathétique ridicule de la situation, de la main droite tu saisis les cheveux de l'apprentie tabatha pour mieux lui enfoncer la face dans le matelas et pour la peine, tu te livres à un déglinguage de première catégorie pendant les 10 minutes qui suivent ! faut pas déconner quand même... bon je tiens à préciser qu'aucun lecteur de ce blog ne connait la tabita en question, pour éviter toute confusion hâtive...

Ferme Ta Gueule Le Mime...

toi chais pas, mais moi je trouve ça particulièrement drôle et pourtant c'est pas de moi !

Han Han...

fais pas chier ou j'éjacule sur ton chat...

De La Valeur Des Hommes...

alors des fois les gens sont très cons, et pas besoin de pas figurer sur les organigrammes des multinationales pour ça hein... au contraire même je dirais ! pour faire court, j'ai un pote plutôt beau gosse, bien foutu, plutôt bon voire très doué et très compétent dans son domaine (comme tous mes potes en fait, enfin à une ou deux exceptions près, mais faut bien confirmer les règles pas vrai !), avec des titres de champions du monde et tout, enfin bref un cador ! eh ben le gars, marié avec une gonzesse plutôt pas mal, gros seins, blonde, épilée (il paraît), presque parfaite quoi à deux ou trois détails près que les convenances m'interdisent d'énumérer ici, qui lui a donné deux filles dont une magnifique que t'as envie de la foutre au couvent direct jusqu'à ses 25 ans voire 32 et l'autre plutôt trop câblée qui forcément te fait penser que l'autre l'est pas autant, mais que la nature fait heureusement pas trop mal les choses ! eh ben mon pote forcément avec tout ça il a une belle-mère et un beau père... logique tu me diras, si la belle famille a pas trop pris l'avion ces derniers temps pour des destinations tiers-mondiste qu'en toute logique t'aurais plutôt envie de rejoindre à la nage, voire à la rame si t'es trop fainéant ! bref, donc, bon, alors, le beau-père cadre disons bien placé, voire trop haut pour ses courtes vues sur l'échelle d'une grosse boîboîte, le genre de mec à avoir fait des trucs à Yvette pendant sa scolarité d'ado postpubère tu vois... nan tu vois pas ? normal la rue d'ulm ça doit pas plus te parler, enfin bref... donc le beau-père avec ses potes, tu vois, enfin les gens qui sont persuadés que compétences et talents riment avec diplômes, bon à leur décharge c'est ce qu'on leur fait croire et comme z'ont pas trop l'esprit critique les endoctrinés on peut pas trop leur en vouloir au fond, bon bah pour ce genre de mec en fait, la valeur d'un homme équivaut grosso merdo au chiffre qui apparaît tous les mois en bas de sa fiche de paie. Ah oui faut savoir que pour ce genre de mec, y'a pas d'autre issue dans la vie que le salariat hein ! dans le meilleur des cas il hérite du poste d'un pote qui vient de prendre le poste d'un autre pote ! et dans le pire se fait virer parce qu'il a mené à la faillite un groupe centenaire qu'il avait surtout pas créé, mais il s'en fout puisqu'il y a bien un de ses potes qui lui trouvera un autre job, pis dans le pire des cas ses jetons de présence suffiront bien à nourrir bobonne hein ! bon bref, je disais donc le grand diplômé forcément mon pote, qu'est tout sauf con, qu'a tout le temps bossé, plutôt bien logé et nourri sa fille et ses p'tites filles, bah mon pote il le considérait pas trop, quoiqu'il fasse... jusqu'à ce que mon pote, grâce à ses compétences plutôt hors du commun, et une réputation plus qu'excellente soit recruté pour un poste plutôt sympa pour lequel comble d'ironie on va le payer certainement 2 ou 3 fois plus que son beau-père !!! et là ! tu le crois si tu veux, mais tu vas le croire, bah d'un coup mon pote, c'est un dieu ! bah ouais ! l'idiot est idiot mais parfois l'idiot est logique... alors comme mon pote bah il va palper sévère pendant un certain nombre d'années lumière maintenant, bah l'autre il courbature autant qu'il peut... toi chais pas mais moi ça me donne presque envie de rire jusqu'à la nausée...

Conversation Assassine Entre Amis...

F : il a vachement fondu Arnaud tu trouves pas ?
G : fondu ? peut être, mais c'est resté à l'intérieur alors...

Circonspection... Et Pas Forcément Le 6e Jour...

Y'a des fois tu sais pas, et d'autres t'es pas sûr... mais parfois tu sais...

Info Exclusive...

le sèche-cheveux responsable de la mort de cloclo était noir et mesurait 32cm...

Les Héros Sont Tous Des Cons...

alors le p'tit kevin un jour il rentre de l'école et raconte à son père que la prof de français, bah elle a dit que julien sorel le héros de le rouge et le noir bah c'est un con, comme tous les héros, forcément le père il s'offusque et il entérine unilatéralement de demander quelques explications à l'effrontée à la première occas !
- alors, il paraît que julien dorcel c'est un con ! pour qui que vous vous prenez à critiquer jeanne mas comme ça ?
- euh... sorel, monsieur, julien sorel, dorcel son prénom c'est marc !

Haicu

pas korrecte,
encore
cette nuit,
couché tard,
recommencer ce soir,
forcément des images de toi,
des phrases restées en suspens !
exercice indélicat,
attirante,
les meilleures raisons
parfois les pires
cède la place au vernis !
ton esprit bridé,
mon ennui,
les choix,
des poids,
des idées et des murs...
s'éloignent, se rapprochent,
hésitent,
veulent et se défont,
des paysages immémoriaux,
ce qui oppose et unit,
être simple,
compliqué par rien finalement !
hier
comme aujourd'hui,
des années pour des jours,
écoulés comme pour oublier,
suspendre, en vain...

La Fille D'O

toi j'sais pas,
mais moi ça fait des années que j'me dis que je ferais bien Le Garçon D'I...

Y'a Combien De M À Viagra Déjà ?

alors y'a pas longtemps j'ai lu dans wikiquelquechose que le mélange M+Viagra pouvait être mortel... ouais mortel, incroyable non, qui l'eut cru ? deux trucs qui séparément font tellement de bien, tu les mélanges et ça devient mortel... comme écouter un LP de Dalida et manger du saucisson de tortue corse, boire un nabu de margaux 61 au goulot et se faire sucer par un réré asmathique ! bon d'accord j'avoue je suis pas tombé sur ce truc par hasard, en fait j'aurais même dû lire ces 4 innocentes lignes avant... de mélanger M et Viagra !
tu me diras, bah pourquoi t'as fait un truc pareil ? toi et viagra ça rime pas vraiment ! oui, tu me dirais tout ça si tu me connaissais un peu et tu aurais raison, je l'avoue humblement, mais seulement parce que tu n'as certainement jamais porté à tes lèvres pulpeuses ces petits cristaux de M un peu trop gros pour que tu penses à sucrer ton café avec sans t'interroger sur la véritable nature de la substance qui attire irrépressiblement tes fingers préalablement légèrement humectés par ta baveuse...
l'ingestion de ce truc transforme systématiquement le plus frénétique des priapes en septuagénaire prostatique, alors comme t'as pas encore la moitié de cet âge et que ta prostate fonctionne encore pas trop mal et qu'il y a dans la même pièce que toi des filles nues et pas qu'à moitié sous influence et inextricablement emmêlées, tu cherches une solution que le mec allongé à côté de toi et qui tripote dépité le chewing-gum qui d'habitude lui sert de marteau-pilon, ne tarde pas à t'apporter ! le mec dans un élan de cette solidarité masculine qu'on ne trouve que sur les terrains de sport ou les champs de bataille les plus sanguinolents, te tend un sachet de viagra en gel. C'est bleu, ça a un goût de chewing-gum à tu sais pas trop quoi et ça s'ingère super facilement...
et là t'attends... confiant en la science... et t'as raison, les premiers effets ne tardent pas se faire sentir, bon en fait la notion de temps t'a échappée depuis quelques heures, minutes, mais tu t'en fous ! pour commencer ta température corporelle s'élève sans pour autant que tu puisses juger cela anormal, alors tu restes allongé sereinement, le feu qui couve ne va sans doute pas tarder à se concentrer dans cette partie de ton anatomie dont tu regrettes un peu le dysfonctionnement actuel... tu sens ta peau devenir moite, encore un con qui joue avec la clim... et puis subitement ta gorge se met à spasmodier comme un hassidim sur le mur des lamentations, tu te lèves donc dignement mais prestement pour te diriger promptement vers la salle d'eau la plus proche, ça serait con de dégueuler sur d'aussi jolis culs...
tu t'approches du chiotte rutilant et sauveur, tu t'accroupis pour pas en foutre partout, les contractions augmentent en intensité et rythme, mais... tu gerbes rien... que dalle, nada, niente... alors bon effectivement c'est pas très agréable, d'autant que tu notices qu'il devrait faire plus frais dans cette salle de bain marbrée carrare du sol au plafond, mais que t'as encore plus chaud... là tu commences à prendre conscience que ton corps est en train d'essayer de bobarder ton penseur ! alors quand une des filles, cheveux longs, blonds, seins ronds, se pointe en intentionnant a priori poser ses fesses rondes aussi sur le truc que tu agrippes fermement maintenant de tes deux mains, tu te résignes à te lever même si tu anticipes des difficultés majeures. en te voyant te redresser péniblement elle te demande forcément si ça va, tu hésites à lui répondre que t'es pas sûr que tes jambes sont encore sous toi, même si visiblement tu es debout car tu la surplombes un peu, mais qui c'est dit qui que t'es pas en train de flotter dans l'espace homme-tronc ? comme tu maitrises pas encore super bien la lévitation tu te décides à retoucher un peu le sol, histoire de pas te gameller au cas où ton densitolévitron 2G passerait inopinément sur off. la fille délicatement assise là où tu tentais vainement de te vider les tripes 30 secondes plus tôt s'enquiert encore de ton état, tu réponds que ça va aller qu'elle peut te laisser que tu vas te rafraîchir un peu... doux euphémisme... la température de ton corps te paraît si élevée maintenant que tu commences à croire ces conneries qu'on t'a raconté sur la combustion spontanée, alors tu rampes, tu peux plus marcher t'as plus de jambes, donc tu rampes jusqu'à la douche logiquement italienne et là t'éberlues que même si tu les aperçois toujours tes bras veulent pas vraiment faire ce que t'attends d'eux, à savoir s'élever vers le robinet pour faire couler de la flotte sur ta peau ! au prix d'un effort inexplicable tu réussis quand même l'exploit et l'eau glacée commence à dégouliner sur toi, sur ton dos, sur ta tête, ton visage, tu cherches la position la plus confortable, tu cales péniblement tes bras, tes poings serrés qui désormais refusent de s'ouvrir sous ton front et tu sens l'eau couler, tu supposes qu'elle est froide car en fait tu sens juste le choc des gouttes sur ton corps, ton crâne, la température n'est plus une information que ton cerveau semble en mesure de pouvoir gérer. l'eau qui coule attire un peu de monde, des phrases résonnent dans ta tronche, tu dis que ça va, sans visiblement convaincre, alors tu dis que tu veux être seul, que ça va passer, tu as besoin d'être seul, car le truc que tu sens monter en toi, que l'eau froide peine à freiner, ce truc te fait quand même un peu flipper, t'es déjà allé loin, t'as déjà gobé pas mal de conneries, t'as déjà trippé sévère, mais là, t'as le sentiment d'avoir pris un aller simple pour "wheredafuckamI City" ! alors tu réfléchis, c'est a priori le seul truc dont t'es encore capable vu que ton body pense qu'à se faire la malle sans toi, tu essaies de trouver le p'tit truc qui fera que tu vas pas plus décoller direction ton cul et là le truc salvateur qui te donne presque envie de pleurer tellement c'est bon, tu focus sur ta respiration, tu te mets à inspirer et expirer profondément, régulièrement, lentement, tu te concentres là dessus, sur ce rythme, sur cet air frais qui remplit tes poumons, sur la merde que tu expulses méticuleusement de ton corps, ton corps lui il comprend rapidos que t'as décidé de le faire chier de l'empêcher de fly high alors il double dose... les douleurs dans tes bras augmentent, les picotements s'intensifient, la crise cardiaque c'est qu'à gauche, ou à droite putain je sais plus, mais sûrement pas des deux côtés en même temps... tes jambes sont toujours pas là, tes couilles t'y penses même plus, ta bite, rien à branler... cet enculé fait tout pour niquer le rythme respiratoire que tu t'imposes de plus en plus laborieusement, alors tu vas chercher encore plus profond, tu te mets même à t'invectiver à voix haute, tu te racontes que tu vas passer à travers, que tu vas y arriver, que t'es plus fort que tout, plus fort que cette merde, tu gueules pas, tu te parles, pour pas interférer avec ton rythme, pour pas te mettre à surventiler, à paniquer comme une donzelle devant une queue de rat qui dépasse de sous le lave-linge... ça dure, ça traine, tu te concentres, tu ne penses qu'à respirer, rien d'autre, juste inspirer et expirer, lentement, profondément, ça s'écoule...
petit à petit tu sens que tu reviens, physiquement t'es toujours pas là, mais tu sens que ton corps revient, lentement, tu continues, ça va aller, parce que t'as pas le choix, t'aimes pas les hostos, les infirmières sont jamais à poil sous leur trucs c'est des conneries ; tu sens que tu récupères un peu tes bras, tes poings s'ouvrent un peu, tes jambes reviennent, tu continues à respirer calmement, tu sais que t'es passé à travers, que t'as raison, que t'es plus fort que tout ça, alors quand tu peux à nouveau voir la paume de tes mains, que tes jambes te font un peu mal recroquevillées sous toi, tu veux soulager ton corps de la lutte que tu viens de lui imposer, ton cerveau lui n'a pas failli, pas une seule fois, c'est juste ton corps qui a lâché, alors il faut le reposer, tu t'allonges sur le côté, la flotte coule toujours sur toi et elle est froide mais pas assez pour te déranger encore, tu souris, tu te marres même un peu, sale trip de merde mais t'es passé à travers... tu restes comme ça un petit moment, tu relâches ta respiration, tu reviens à la normale... oui mais non.
trop tôt... beaucoup trop tôt...
t'aurais pas dû y croire si vite, tu sens le truc remonter, repousser, les picotements dans tes bras reviennent, insidieusement, tes jambes disparaissent à nouveau des fois que tu voudrais leur imposer de remplir leur mission naturelle, là c'est chiatique mais t'es à deux doigts de craquer, tu vas pas y arriver, t'es vidé, t'as fighté trop longtemps t'as plus rien à donner, tu vas laisser aller, t'as plus le choix, tu peux plus faire autrement, vu que t'as plus rien, t'es presque soulagé... le truc remonte et te bouffe à nouveau, ton corps sans toi, avec toi maintenant, même ta tronche va lâcher, tu peux plus, là, t'es niqué, y'avait plus que ta tronche et elle va te plomber aussi !
mais comme t'es un peu têtu des fois et que tu veux tout le temps avoir raison, tu te remets quand même à genoux, péniblement, tes poings te soulèvent, se referment, s'ouvrent plus, encore, tu reposes ta tête, aucun muscle pour travailler, relâche ton corps, garde ce qu'il te reste de tronche et recommence la lutte, tu l'as fait et tu vas le refaire... plus dur...
pour la seconde fois après de longues minutes tu sais que t'as repris le dessus, tu te laisses plus abuser, tu continues à focusser, longtemps, sur ton souffle, tu changes un peu la température de l'eau parce qu'elle est vraiment froide, un signe, des minutes, et puis tu supportes plus l'eau du tout, faut rien pour te distraire, coupe l'eau si tu peux plus, tu verras bien... ça s'arrête, tu glisses hors de la douche, sur tes jambes qui veulent pas encore te porter, tu t'allonges sur le côté, des voix qui te demandent si ça va, ton fournisseur de viagra assis tranquillement sur le chiotte, en train de pisser... t'as froid, tu te mets à trembler, back to normal...

Marketing 1 - 0 Religion

J'ai une copine juive qui se trouve avoir engendré il y a une sixaine d'années, et ça suffit à faire d'elle une mère juive... Alors pas plus tard qu'il y a quelques heures dans une bagnole qui roulait pas trop vite sous une pluie qui trainassait à tomber, elle sort :
- tu vois c'est chiant noël, parce que mon fils il est avec son père, moi je suis juive je fête pas noël, alors je crois que je deviens de moins en moins juive pour pouvoir finir par passer noël avec mon fils...
- ma pomme : bah tu fêtes hanukkah avec lui, non ?
- elle : t'es fou mon fils il est déjà surdoué (c'est des psy et des gens très biens qui ont découvert ça), je vais pas lui dire qu'il est juif en plus...

forcément...

À La Fédération Nationale D'Achats Des Gitans

Alors y'a des fois, t'as beau être ceinture noire 3e dan de pingpong bolivien, avoir survécu à plus de stages commandos que stallone et arnold réunis, bah t'écoutes ton instinct de survie et tu baisses la tête et t'attends que les pruneaux arrêtent de voler autour... pour raison évidente de pénurie ou de lassitude...
J'ai revécu une situation de ce genre il y a quelques jours... les circonstances ? extraordinaires !!! l'extrémité sud du rayon musique électronique d'une Fnac (je donnerai pas plus de détails géographiques pour des raisons évidentes de sécurité -la tienne pas la mienne évidemment- et de confidentialité of course) l'heure ? environ 15h32, personnels en présence ? ma pomme et ma couverture habituelle, 1M86, 100 kilos de viande, un peu dégarni, vif comme un pivert à deux doigts de copuler. En face, un truc de fous, rarement vu ça : 3 gitans d'1m20 de haut à peu près (2m à eux 3) suivis d'une de leurs soeurs ou quelque chose d'approchant... bah tu me croiras si tu veux mais quand je les ai vus azimuter droit sur moi et venir au contact, au milieu de cette foule dense et hétéroclite d'enfants, de vieillards et de femmes enceintes, j'ai pas pu m'empêcher de penser au carnage qu'une confrontation directe avec ces trois profonds du casque et la pute qui les accompagnait n'aurait pas manqué de provoquer. Donc par civisme avant tout, tu t'en doutes, j'ai choisi de m'écarter élégamment du chemin qui semblait inexorablement tracé devant eux et qui passait a priori malencontreusement sur mes pompes... bon je te rassure personne n'a rien remarqué, j'ai fait ça classe et discret. Comme personne n'a rien noticé, tu te demandes pourquoi je fabule ici à portée de tous les esprits étroits. la raison en est simple, je veux simplement dire aux plus cons d'entre vous que l'instinct de survie est une force impérieuse contre laquelle il faut pas lutter... sinon imagine ce qui aurait pu se passer si le plus débile des trois (difficile de dire lequel en fait, mais bon essaie de te faire une idée) était venu planter son tarin graisseux entre mes pectoraux saillants modestement sous mon cerruti en cachemire noir du bengale. I-MA-GI-NE ....

gitan n°1 : putain ! tu vois pas clair bâtard, j'vais t'niquer ta race sur trois générations jusqu'à louis 12 !
ma pomme : c'est à moi que tu parles naboléon ? ferme ta bouche ma queue risquerait de tomber dedans tellement que t'as l'air à genoux !
pute n°0 : comment y't parle momo, nique lui sa mère si c'est pas déjà fait...
ma pomme : qu'est ce qu'elle veut marguerite yourcenar ? que j'uy retapisse le vagin à l'intégrale de la pléïade ?
gitan n°2 : (en sortant une lame longue comme une nuit avec marie trintignant) j'vais faire un méchoui avec ta queue si tu la mets dans la bouche à momo !!!
gitan n°3 : ouais pis ma soeur elle t'arrachera les couilles avec ses dents !
ma pomme : (en jetant un oeil à la pute-soeur) elles sont où ses dents à ta soeur ? tu les as revendues pour te payer un abonnement au monde diplomatique ?
la pute : putain momo nique zy sa race (en se raclant les poumons pour préparer un glaviot de 3 litres...)

bon forcément je t'épargne la suite, les 53 gars de la sécurité qui se précipitent dans le bureau antipodesque pour téléphoner à la police (faut au moins ça quand y'a trois gitans et demi qui foutent la merde dans une fnac) les coups de couteau et tout et tout, putain j'aurais eu du mal à m'en sortir je crois...

alors tu vois, des fois, si t'as pas de temps à perdre à te faire recoudre à l'hosto, bah vaut mieux faire un pas de côté, surtout si les mecs z'ont l'air aussi cons que franco un soir de bal à madagascar...

Proverbe Sino-Turc

Quand la vie te jette à terre, relève la tête, mais fais attention à ne pas avaler la merde des autres au passage...

Plus Haut Les Bras J'ai Dit...

"Si tu veux torturer correctement ton ennemi, apprends à bien le connaître..."
John McCain

Proverbe Navajo...

Ne prends jamais ce que te dit une femme au pied de la lettre, remonte toujours un peu le long de la jambe...

Facebook Vs Youporn...

bah en fait la question se pose pas, sur Youporn tu peux espérer comprendre quelque chose à ce qui s'étale sous tes yeux...

Comme Les Gens Sont Cons...

heureusement que parmi tous ces cons y'a des amis et de la famille à toi, sinon t'aurais plus qu'à te flinguer...

Humanité...

Y'a ceux que j'emmerde et y'a les autres, et c'est souvent les mêmes...

De La Baby-Sitteuse A La Campagne

alors je vais te dire, la campagne ça craint, c'est pas fait pour y vivre, à la limite le weekend quand t'as vraiment rien d'autre à foutre ou que le boss de ta gonzesse t'a invité dans sa grande baraque avec piscine parce que sinon il se fait chier tout seul avec sa grosse. La campagne c'est pour les gens qui possèdent au moins une vache, tu vois, sinon c'est un prétexte... ça veut dire j'ai pas assez de thunes pour m'acheter une vraie maison ou un vrai appart dans un vrai endroit avec des vrais gens... Alors y'a les gens qui se la joue roots et qui retapent des fermes ; ouais je veux bien, un de mes frangins va faire pareil. Bah ça craint, il me fait déplacer un pote archi dans un bled de merde à peine répertorié sur les cartes pour qu'on le rassure sur la nature de sa connerie et le potentiel de ses quatre murs. C'est sûr mon coco dans deux ans tu la revendras deux fois plus cher, faut juste que tu trouves un mec deux fois plus con que toi... Non faut vraiment arrêter de déconner avec la campagne hein, c'est beau quand tu la traverses en bagnole ou limite en vélo, voire à pied si t'es tombé en panne d'essence ou que ton vélo a crevé, mais sinon faut la laisser aux vaches la campagne et aux militaires pour qu'ils puissent continuer à se faire peur en attendant une vraie guerre. Alors je veux dire faut pas t'étonner de trouver des dépressives à la campagne, des gonzesses qui préféreraient trainer au supermarché avec leurs copines et leurs gamins (et les tiens). Une gonzesse qui a suivi son mec au milieu de nulle part parce que son salaire de miséreux lui permet même pas d'envisager de louer un hlm pourri en banlieue de dunkerque... tu t'attends à quoi d'une gonzesse pareille ? Qu'elle lise du Kierkegaard à tes mouflets ?

Proverbe Kanak...

Une femme c'est comme un melon, suffit pas que son cul sente bon...

Fallait S'y Attendre...

Un chômeur sdf assassine deux polytechniciens...

Botanique II

Y'a pas si longtemps, tard dans un bar, une fille un peu éméchée m'a demandé ce que je lui ferais si elle était nue devant moi à cet instant précis... ma réponse :
"le trou du cul, façon dollar chypriote..."
Bah encore aujourd'hui, je me demande si elle a goûté ma répartie à sa juste valeur... Nan j'déconne...

Botanique

Y'a des gars peuvent pas s'empêcher, tu leur donnes une pelle, ils creusent...

Inzazac Lochrist, Dicton...

Quand tu craches en l'air contre le vent, t'étonne pas si ça te revient dans la gueule...

Le Diable Est Dans Les Détails...

Un resto branché, tellement branché, que les proprios savent d'emblée que leur gargote se videra aussi vite dans 6 mois qu'elle s'est remplie depuis 1 semaine. Alors quand ton business a une durée de vie aussi limitée forcément tu cherches à rentabiliser. Mode d'emploi, un max de tables, tant pis si les clients sont assis les uns sur les autres et qu'ils bouffent dans l'assiette du voisin. La musique à fond, pour qu'on puisse pas discuter sans hurler, les chaises auront pas le temps de refroidir entre deux culs. Des prix élevés pour que ceux qui ont limite les moyens commandent pas de dessert ou s'endorment pas autour d'une bouteille de vin qu'ils renâcleraient à finir "t'as vu le prix...". Des serveuses suffisamment sexy pour donner envie de revenir aux gros nazes qui rêvent de se la jouer Clooney et suffisamment conscientes de leur "bonitude" pour pas sourire aux wannabee-georges. Et un bar pour faire patienter le chaland en le bourrant d'alcools forts, avec un peu de chance il aura plus faim au moment de passer à table et se barrera encore plus vite.
L'avantage de ce genre d'endroit quand le proprio te connait, t'as pas besoin de réserver et t'as tout ton temps pour mater les gonzesses qui vont se succéder aux tables voisines tant que tes tympans pourront supporter la surcharge de décibels. Autre avantage, il vient forcément t'offrir une bouteille de champagne et la gonzesse que tu connais pas encore qui est presque assise sur tes genoux se sent encore plus attirée par le charme indiciblement dollaresque qui émane de ton modeste costard à 5000 boules. Le truc chiant c'est quand la gonzesse te plaît pas ou pire quand elle reste complètement indifférente à ta coolitude intellectuellement supérieure à la moyenne. T'es forcément drôle, elle entend forcément parce que tu hurles et elle sourit même pas la salope, bon c'est pas que t'en as quelque chose à foutre, mais c'est toujours bon de se sentir aimé, surtout par une inconnue. Alors tu fais des efforts pour qu'elle remarque pas que t'as remarqué qu'elle fait exprès de pas se marrer à chacune de tes feintes atomiques. Et contre toute attente, au moment où tu t'apprêtes sombrement à renfouirrailler, tu sens un genou entrer délicatement en collision avec le tien. Pas de mouvement général du corps, juste une cuisse qui s'est écartée anormalement de sa soeurette pour venir se coller furtivement contre la tienne. Pas de mots d'excuse, pas un regard vers toi, rien. Bon alors tu te mets à attendre que ça se reproduise, histoire d'être sûr et là les minutes commencent à s'égrainer à la vitesse d'une limace au galop. La guêpe pas folle pique pas deux fois au même endroit, alors t'es obligé de tenter une sortie et tu reproduis avec superbe le même mouvement involontaire en essayant de mémoriser la distance qui sépare ton cuissot de la chair à peine couverte de l'indécente. Une fois... laisser passer quelques anges à peine sapés en "marlies dekkers" ou "la fille d'o", deux fois... La distance a raccourci, la troisième étape, même geste, mais durée légèrement allongée, pour laisser le temps à la jolie brune de se dérober, gênée, excédée ou tragée. Signe positif, léger décollement puis nouveau contact plus appuyé. Signe très positif, appui plus pressant sans passer par la phase décollement. Et là, tremens delirium, que fait-elle ? appui et mouvement bas, haut, bas de la cuisse qui fatalement se découvre un peu plus. T'es pas en train d'halluciner vieux, mais la robe de la gredine semble n'avoir qu'une envie, tailler une bavette avec ton falzard au pied d'un plumard. Le jeu de cuisses continue un moment, sans un regard, sans une parole et si t'es pas trop con, tu te lèves en même temps qu'elle au moment où elle prend la direction des gogues, hasard, pur hasard, elle ne t'a pas même pas calculé, ton pote voit rien, sa copine est peut être plus maline mais tu t'en fous... Tu la suis dans la foule compacte, tu as le temps de mater son dos, sa nuque découverte, son cul qui remplit trop bien le tissu qui l'habille... Tu peux même risquer de poser délicatement ta main sur ses fesses au moment où tu lui tiens la porte des chiottes. Et là miracle, l'endroit est vide, tu la suis quand elle entre côté femelles, tu vois à peine les deux pouf en train de se farcir le tarin au dessus du lavabo. Tu prends le temps de verrouiller la porte pendant qu'elle rend l'endroit plus confortable, tu poses tes mains sur son cul, tu la plaques contre toi en même temps qu'elle t'attire vers elle en s'appuyant sur le mur. Tes mains parcourent son corps, tu presses tout ce qui résiste un peu à tes doigts, tu pinces pas trop fort, tu l'écoutes respirer plus fort, plus vite. Tu fais glisser les bretelles de sa robe pour découvrir ses seins, tu les caresses, tu compares la couleur de ta langue à celle de ses tétons. Tu t'accroupis en même temps que tu relèves le bas de sa robe, tu écartes le bout de tissu qui te sépare de son sexe, tu te réjouis à vue d'une épilation réussie, ta langue vient présenter ses politesses à son clitoris, tes doigts s'enfoncent en elle pour venir masser de l'intérieur ce que ta bavarde titille de l'extérieur. Tu écoutes son corps bouger, tu devines la main qui ne tire pas tes cheveux torturant ses seins. Tu réfléchis vite, poche droite ou gauche le plastique ? Elle a peut être joui sous tes coups de langue et tes doigts malins, mais t'en restes pas là, tu te relèves, elle essuie ta bouche, plonge vers ta queue encore emprisonnée, la libère, l'engloutit en te regardant droit dans les yeux, tu sens tes couilles se rétracter. Tes honorables centimètres disparaissent complètement et lentement dans sa bouche. Tu la regardes faire en te demandant si elle préfère le goût ou la chaleur du sperme sur son visage. Tu chasses l'image nestlé de ton esprit. Tu l'aides à se redresser, tu l'embrasses parce que ta queue pue pas, elle se tourne et t'offre son cul, en te regardant, en te défiant presque. Tu cherches rapidement, pas frénétiquement, rapidement un bout de plastique dans ta poche, tu l'enfiles encore plus vite avant d'enfoncer ta queue lentement dans son vagin ou son anus si la demoiselle est particulièrement accueillante, on sait jamais. Tu vérifies habilement en glissant tes doigts vers son clitoris que ta queue est bien là où tu penses qu'elle est, on sait jamais. Et lentement tu accélères les mouvements de ton bassin, tu passes tes mains sur ses seins, tu pinces plus fort ses tétons. Tu sens son corps répondre au tien, tu continues, tu réfléchis, tu la baises autant qu'elle te baise, tu la laisses pas faire sans dominer. Faut que ça dure mais pas trop, ça se fait pas de monopoliser des chiottes...
Y'a forcément trois gonzesses qui pouffent quand tu ouvres la porte, tu souris, tu passes de l'eau sur ton visage tranquillement, elle fait pareil, tu la laisses sortir, à elle de décider maintenant...
Tu finis de dîner, tu lui rends son sourire quand elle se lève, qu'elle s'en va avec sa copine, tu ne sais rien d'elle, que la forme des ses seins, de son cul et de ses hanches dans tes mains, que le goût de sa bouche et de son sexe, l'essentiel finalement...

Et ta soirée commence vraiment bien si ton pote te sort en se levant de table : "allons essayer de finir la nuit sous une couette qu'on aura pas choisie..."

Tout Est Dit...

Je ne sais pas posséder. Je suis avare de cette liberté qui disparaît dès que commence l'excès des biens. Le plus grand des luxes n'a jamais cessé de coïncider pour moi avec un certain dénuement. Albert Camus.

S'il y a dans le coin quelqu'un d'assez con ou vaniteux pour essayer d'ajouter à cela ne serait-ce qu'un mot, qu'il ne se prive pas...

Politique

Tu sais à quel moment j'ai su que Chirac avait perdu les élections de 88 ?
Quand je l'ai vu lécher le sperme qu'il venait d'éjaculer sur le cul de la Cicciolina, pendant une partouze chez Berlu... Là, j'ai compris que la France n'était pas encore prête pour ce grand homme...
Et tu sais depuis quand j'ai compris que Berlusconi allait gagner les élections cette année ?
Depuis qu'il se maquille comme une vieille pute napolitaine... C'est exactement ce qu'il faut pour redresser l'Italie, de l'expérience, de la poigne, un reste de douceur et une grande gueule...

En Passant

de l'hérédité au sein des entreprises familiales :
si les fondateurs sont parfois des génies, leurs héritiers se répartissent les rôles selon une hiérarchie maintes fois vérifiée qui va du "très con au moins con". Le moins con s'ingéniant à dilapider le peu qui pourrait aider à éviter le rachat -salutaire- de l'entreprise familiale, en projets plus ou moins farfelus, généralement aux antipodes du coeur de métier historique de l'entreprise. Cherchant par là même à renouveler le succès patriarcal, ce qui lui permettrait de se faire un prénom au milieu sa dynastie de dégénérés. Une question se pose alors, le moins con serait-il le plus con ?

Bah Là C'est Pareil...

bon d'accord j'ai mis du temps à revenir ici, mais busy, busy, busy et puis pas envie, fatigué. Alors rien, pas de lignes, pas de mots. Des trucs drôles forcément échangés à droite ou à gauche, rien de politique que du géographique. Mais globalement rien de construit. Attention loin de moi l'idée de vouloir faire croire que mes diarrhées verbales sont le fruit d'une quelconque réflexion. Non, non, une envie et je m'y mets sans même savoir quel sera le mot suivant. Les phrases se posent les unes sous les autres, les mots l'un à côté de l'autre. Rien d'autre. Je n'appartiens pas à cette race des saigneurs de l'écriture, ces mecs qui étalent plus de virtuosité que de talent. Non, non, on serait plutôt dans l'automatisme, je pense, mes doigts transmettent et ça finit là, peut-être sous vos yeux. Le paradoxe, je vais me relire, trouver ça nul, tailler dedans, supprimer, corriger, modifier, réécrire voire même tout effacer si ma suffisance transpire trop. Non, non, mon ego n'a pas encore bouffé toute ma conscience, ou pas encore digéré à tout le moins. Il me reste un peu de recul, assez de jugeotte pour pouvoir me dire : "ne jette pas ta merde en pâture aux cochons, ils risqueraient d'aimer et tu y laisserais tes couilles..." Alors forcément au bout d'une relecture douloureuse car à défaut de virtuosité, le talent ne m'habite pas forcément non plus, il m'arrive souvent de tout lourder, sucrer, virer, dégager. Je ne me supporte pas médiocre, attention selon mes critères, pas les vôtres hein, vous êtes forcément moins bons que moi donc ça vous irait, et pour les rares qui seraient meilleurs, je vous emmerde... Pas d'ego, je disais... Alors voilà, des mots, de la ponctuation, de la conjugaison, maltraitée, de la grammaire, torturée, de la syntaxe, écornée, des lignes et au final un truc qui ressemblera sûrement à quelque chose puisque je pense plus vite que je tape. Et puis pour tout dire, je me fous que vous aimiez ou pas. Je demanderais bien leur avis à deux ou trois personnes, qui se chargeront de réconforter mon ego, encore lui, mais pour le reste je m'en fous, j'apprécie suffisamment je laisse, j'aime pas, je jette. Pour les femmes c'est pareil, je sais ça fait cliché, macho, gros con, mal baisé, éjac précoce. Oui mesdames vous pourriez penser tout ça, et je m'en fous encore. Seulement faut que vous compreniez, vous me saoulez souvent, que vous soyez belles, intelligentes, moches ou connes. Vos principes, vos envies, vos désirs, vos idées, tout ça est souvent très chiant, très con, pas intéressant. Je regarde, j'écoute, je souris, j'applaudis, je me tape le cul par terre, mais avant de vous avoir baisées. Une fois que vous m'avez encore prouvé que vraiment peu d'entre vous savent se servir d'une queue ou de leur cul, sans parler de leur bouche, je me casse, en souriant, en ne promettant rien, bien sûr qu'on se reverra. Mais pas de sexe, même si vous avez adoré, forcément. Merci de respecter l'intimité du lion, ce grand fauve qui pique les proies de ses femelles et passe ses journées à dormir à l'ombre du seul arbre à 30 kilomètres à la ronde. Seulement mesdames, vous avez beau le pourrir, le dénigrer, ce fainéant qui vient bouffer dans votre assiette la daube que vous avez bien voulu y mettre, dès qu'il se met à cavaler, pour se marrer, au cul d'une gazelle, ça se pâme, ça glapit, ça se met à fondre. Putain c'est beau quand même... Bah oui, c'est pas avec vos gros culs que vous pourriez en faire autant, ça se dandine mais c'est pas aussi classe. Ca envoie pas pareil. Le truc se lève mate à droite ou à gauche, s'élance, ça se tait, ça tambourine, ça va pas assez vite, pas lui, l'autre, et ça finit par se faire choper ; et puis quand bien même il rate, car ça lui arrive, et bien ça reste classe. C'est pas le genre à demander pardon, à s'excuser d'avoir merdé, mal évalué une distance, pas assez serré un virage. Ca assume, ça emmerde et ça retourne se coucher sous son arbre, et faut juste pas faire chier. Pas compliqué à comprendre pourtant. Sûr, y'a le fontionnaire du coin, le mec presque élégant, enfin comme aimerait maman. L'étudiant pas dégrossi, celui à la grosse bagnole et à la montre qui pèse trop lourd, mais celui-la au fond de vos petites carcasses de mal baisantes, vous savez qu'il fait pas rêver, vous le devinez chiant à crever. Sûr, monter dans la grosse bagnole pour partir à la mer, au bord du lac, à la montagne dans la grosse maison, la même que l'année dernière, que le mois dernier, que le weekend dernier... Sûr ça en jette, maman adore vous rejoindre quand elle peut. Mais putain qu'est-ce que c'est chiant, vous regardez votre cul pousser, vos seins tomber, votre mec mâter la petite jeune qui passe. Sûr qu'il la baisera un jour, à trente ans vous valez plus rien sur le marché et lui, plus il vieillit votre con, plus il prend de la valeur. L'injustice... m'en parlez pas, j'adhère pas, je cautionne pas, mais c'est comme ça, faut vous faire une raison. Bon je parle pas des autres, celles qui savent, qui essaient de manipuler, celles qui savent tout (ou presque) ce qu'on peut faire avec un cul, une queue, une bouche... Elles sont pas moins chiantes mais on pardonne plus facilement. On les laisse traîner dans le coin parce que finalement elles sont pas si nombreuses, donc, rien que pour ça, elles méritent. Forcément, ça sonne misogyne tout ça, mais en fait non, on pourrait croire, mais c'est comme quand tu veux savoir l'heure, tu regardes pas si y'a de la mousse sur les arbres, bah là c'est pareil...